Le ministère des Armées est confronté aux mêmes difficultés de transformation qu’une grande entreprise, mais avec en plus des enjeux de souveraineté et de sécurité des données. Rénovation du SI, gouvernance des data, agilité… les théâtres d’opération sont multiples.
Les députés ont adopté un amendement au projet de loi de lutte contre le gaspillage prévoyant l’abandon de l’impression « systématique » du ticket de caisse.
D’après l’édition 2019 du Baromètre du numériques, le smartphone est plus que jamais incontournable, en particulier pour accéder à Internet, avec un taux d’équipement des Français de 95%.
La fonctionnalité e-commerce d’Instagram prend auprès des grandes marques. Ainsi, près de 80 d’entre elles exploitent Instagram Checkout pour la vente directe de produit depuis le réseau social.
Les centres d’appels, un business à 200 millions d’euros par an pour Pierre & Vacances. Néanmoins, ces appels, « une mine d’information », n’étaient pas analysés. Grâce à une IA d’analyse vocale, l’entreprise a identifié des données capitales et accru son taux de conversion.
Au travers de Mano Fulfillment, le spécialiste du bricolage sur Internet permet désormais aux clients marchands de sa marketplace d’utiliser son service logistique en Espagne.
L’ancien secrétaire d’Etat au numérique, Mounir Mahjoubi, accuse Amazon de détruire de nombreux emplois. Le gouvernement lui répond en appelant les Français à privilégier leurs commerçants et artisans de proximité.
Métier de l’expertise data au sein de Oui SNCF, le marketing développe différents cas d’usage de la data science dont le suivi de la performance des campagnes et la gestion des enchères AdWords. Le SEO, en phase d’exploration, sera le chantier de 2020.
Après une entrée en bourse considérée comme réussie par le gouvernement, la Française des Jeux réalise sa première acquisition. La FDJ rachète l’éditeur de logiciel d’encaissement et de paiement en point de vente Bimedia. La privatisation de la Française des (suite…)
2,17 milliards d’euros, c’est ce que devront débourser au minimum les opérateurs en France pour disposer de fréquences 5G. Pour le gouvernement, ce prix est « raisonnable ».